dimanche 22 juin 2008

NIKOLA TESLA / ARTHUR MATHEWS (3)

EN CONSTRUCTION

RÉSUMONS NOUS.


JE N'AI TROUVÉ AUCUNE PREUVE OFFICIELLE DE LA VENUE DE NIKOLA TESLA AU CANADA (PROVINCE DE QUÉBEC), CE QUI N'EXCLUS PAS QU'ELLES N'EXISTENT PAS.
IL EXISTE UNE POSSIBILITÉ QUE ARTHUR MATTHEWS AIT, À UNE CERTAINE ÉPOQUE, ÉTÉ CONFONDU AVEC GRINDELL MATTHEWS.
ALORS OÙ TROUVER UNE PREUVE, MÊME INDIRECTE, D'UN POSSIBLE CONTACT AVEC ARTHUR MATTHEWS ET NIKOLA TESLA.
CAR IL EST INDÉNIABLE QU'ARTHUR MATTHEWS AIT ÉTÉ INFLUENCÉ PAR NIKOLA TESLA .
ET SI CETTE PREUVE NOUS ARRIVAIT PAR LA RELIGION CATHOLIQUE...
APRÈS UNE LONGUE INVESTIGATION, J'AI TROUVÉ DES DOCUMENTS MÉCONNUS, QUI TENDENT À PROUVER QUE MATTHEWS AURAIT EFFECTIVEMENT ÉTÉ VISITÉ PAR DES "ÊTRES VENUS D'AILLEURS" À SA RÉSIDENCE.
J’aime bien trouver des preuves d’un événement « par la bande » c’est-à-dire par une source autre que celles dites « officielles ». Qu’est-ce qui pourrait bien nous indiquer quArthur Matthews aurait vraisemblablement été visité à quelques reprises par un vaisseau (quelque soit sa provenance) et par des « êtres » (peu importe qui ou quoi il sont) à sa résidence au Lac Beauport ?
Il est intéressant de constater qu'une telle "preuve par la bande" ne nous provient pas seulement d'une source scientifique mais également religieuse...
Pour ceux qui ont mon âge, vous vous souviendrez de l'influence énorme qu'avait notre très sainte Église Catholique dans nos vies de tous les jours.
Cette institution avait beaucoup plus à faire avec ses zouailles que de s'occuper d'êtres venus d'ailleurs ou de machines volantes.
Or, la publication du DIGEST ÉCLAIR de Novembre 1965 nous parle d'un homme hors du commun à cette époque.
Cet homme, en plus, est un Frère Dominicain et scientifique par surcroît.
Il s'agit du R.P. Paul François Bernier, O.P. de Québec. Ce père Dominicain avait la merveilleuse chance d'être le confident d'Arthur Matthews lui-même.
À ma demande, j'ai reçu du Père Jules-Yvon Dumont, Père archiviste demeurant à Montréal, une notice nécrologique du Père Bernier.
Je vous en fait part :
UN FRÈRE DOMINICAIN SCIENTIFIQUE
NOTICE NÉCROLOGIQUE DU PÈRE PAUL (FRANÇOIS) BERNIER, O.P. par
FR. JULES ANTONIN PLOURDE, O.P.
(1904-1976)
Ce père, définitivement bien inspiré, écrivait dès 1940 ce qui suit : "...moi, je voudrais vivre en l'an 2200. Tout ce que nous avons aujourd'hui, nos ancêtres auraient pu l'avoir s'ils avaient étudié d'avantage les lois de la nature...si tout le monde se mettait en frais de découvrir les secrets de la nature, les progrès de la science seraient beaucoup plus rapides...".
13 ans avant le premier homme sur notre satellite, en décembre 1953, il écrivait ce qui suit : "...il est tout à fait normal qu'après avoir fait le tour de notre planète, certains hommes aient conçu le projet de rendre visite à la lune, notre voisin le plus rapproché. L'expérience acquise par cette exploration nous permettra de poursuivre notre voyage jusqu'à la planète Mars, où peut-être nous rencontrerons des hommes semblables à nous...".
Paul François Bernier, fit son entrée dans la vie dominicaine en 1925.
Homme intelligent, il étudie la flûte et le piccolo; il lit beaucoup de livres de science et il apprend également la scolastique.
Marie-Dominique Chenu donne une idée assez précise de ce qu'est la scolastique : "la scolastique médiévale ne peut se définir davantage par le souci de subordonner la vie intellectuelle à la vie religieuse, et de constituer un système spéculatif ayant pour objet essentiel l'accord direct d'une philosophie avec le dogme chrétien (ou le dogme musulman, s'il s'agissait d'une scolastique musulmane). Oui, les médiévaux ont poursuivi un idéal de savoir, une conception du monde, où s'engageraient dans une haute et unique sagesse les ressources des diverses sciences réunies".
De plus, il ira à l'Université Laval de Québec où il apprendra la physique, la chimie et les mathématiques.
Lui-même est un inventeur, il fabriquera un générateur autodynamique qui fera sauter les fusibles et qui électrocutera presque son cobaye.
Il inventera un appareil, qu'il décrit comme suit : "...il s'agit d'aider ceux qui doivent parler en public et qui n'aiment pas à apprendre leur discours par coeur...".
Autre invention, un petit miroir adaptable aux lunettes et qui ..."permet tout en regardant le public, de lire le texte au pupitre... il suffit d'écrire son texte à l'envers au moyen d'un papier carbone...".
Très intéressant, pour notre investigation, de savoir qu'il déposera des projets, à une Étude et Dépôt, qui lui en reconnaît "l'évidence de la conception", un moteur à rayons cathodiques et un générateur fixe de courant alternatif.
À ce sujet, il écrira à son frère ce qui suit : ...j'espère bien qu'à force d'étudier le générateur électrique dans ses principes fondamentaux, selon la méthode d'Aristote (sic) ??? (les points d'interrogations sont de lui), j'arriverai à trouver quelque chose d'utile à l'humanité...".
En 1942, il écrit à son frère Raymond que : "...je n'ai pas besoin de te convaincre que l'univers est plein de merveilles et qu'il suffit d'ouvrir les yeux pour les apercevoir...".
Il sera professeur de physique à Ottawa de 1935 à 1955.
Cet homme de science aura cette phrase très proche des propos de Nikola Tesla sur l'énergie libre lorsqu'il écrit : "...le plus important aujourd'hui est de trouver un générateur électrique qui soit indépendant de toute source d'énergie mécanique...".
Voici une liste de titres d'articles ou de conférences provenant du Père Bernier :
- QUELLES SONT LES FORCES COSMIQUES QUI NOUS ENTRAÎNENT DANS L'ESPACE ?
- D'OÙ VIENNENT LES RAYONS COSMIQUES QUI BOMBARDENT LA TERRE ?
- CONNAISSONS-NOUS PARFAITEMENT LE SYSTÈME SOLAIRE ?
- THÉORIE NOUVELLE SUR LA PROPULSION DES NAVIRES L'OBSERVATION.
Le 1º novembre 1950, va changer la vie du Père Bernier à jamais.
À 19:20 Hrs, il apercevra un objet étrange dans le ciel.
Il sait très bien qu'il ne s'agit pas là d'un météore.
Lui qui en entend parler depuis 1947, il peut enfin admirer une "soucoupe volante".
Les nuit, il va s'asseoir sur les toits du couvent d'Ottawa ou celui du couvent de Québec, jumelles au cou et il observe le ciel.
Ces nouvelles perspectives cosmiques lui font écrire un article dans l'HEBDO-REVUE du journal LE DROIT d'Ottawa, intitulé : "Un long et fascinant voyage dans l'espace...à une vitesse fantastique."
Son article conclut ce qui suit : "...nous ne connaissons encore qu'imparfaitement l'univers dans lequel nous nous trouvons. Les hommes qui vivront dans deux ou trois siècles nous considérerons comme des primitifs bien peu habiles dans l'art de raisonner et d'expérimenter. Pour nous, nous pouvons remercier Dieu de nous avoir permis de vivre dans son vaste univers au milieu des merveilles qui nous entourent. Toutes les forces de la nature sont à notre service, pourvu que nous cherchions à les comprendre. La science de l'univers est contenue dans un immense volume dont nous n'avons encore tourné que les premières pages...".
Dans des lettres à un de ses neveux, il écrira également : "...j'attends toujours la venue des Hommes de l'Espace; je pense souvent à eux et j'ai hâte de me trouver un jour en leur compagnie...".
Très intrigant comme discours pour un frère Dominicain.
Le frère Jules Antonin Plourde O.P., l'auteur de cette notice nécrologique, n'hésite pas à écrire ce qui suit : "...mais ce n'est pas une découverte qu'il a faite, c'est un contact qu'il a établi, et entre les deux la distance aussi est immense. Il ne s'agit plus de parler d'objets mystérieux, mais de gens familiers, les Hommes de l'Espace, avec qui il entretient des relations interpersonnelles. Pour mieux y parvenir, la science est maintenant pour lui dépassée. Il faut un autre médium. S'il syntonise leurs signaux nocturnes sur la fréquence 980 Ke et les enregistre sur magnétophone, il a besoin de plus encore pour entrer en sympathie avec ce monde mystérieux...il lit des livres sur la mystique hindoue et s'en admire...".
En 1959, de ces livre sur la mystique hindoue, le Père Bernier dira :"...j'aime bien ces livres et je trouve qu'ils soutiennent presque la même doctrine que nos livres mystiques. tout peut se ramener à la paternité divine, la recherche du bien, la fraternité humaine, l'immortalité de l'âme et le développement progressif de l'homme jusqu'à l'union de l'Esprit de son Créateur pour celui qui cherche à se perfectionner. Cela donne un sens à la vie. La doctrine chrétienne contient aussi tout cela, mais il ne faut pas croire que seuls les chrétiens sont en possession de la vérité. En mystique, ces Hindous sont extraordinaires et il faut les traiter comme des frères...".
En 1960, le Père Bernier n'hésite plus à écrire : "...il se pourrait bien que nous soyons à la veille de recevoir la visite en masse des Hommes de l'Espace. Pour moi, je les attends et je n'hésiterai pas à monter dans leurs vaisseaux...".
DONC, NOUS SAVONS QUE LE R.P. PAUL BERNIER FUT INFLUENCÉ PAR M. ARTHUR H. MATHEWS QUI LUI-MÊME FUT APPAREMMENT INFLUENCÉ PAR NIKOLA TESLA.
DANS MA QUÊTE DE DOCUMENTS MOINS CONNUS SUR CE SUJET, J'AI TROUVÉ DEUX ARTICLES PARUS DANS LE DIGESTE ÉCLAIR ET QUI NOUS PARLE DES LIENS UNISSANT MATTHEWS ET LE R.P. PAUL BERNIER. EN VOICI LECTURE :
LE MYSTÈRE DU LAC BEAUPORT
Depuis que les Russes se promènent dans l'espace et que les savants du monde entier font des recherches spatiales et tentent, par les moyens de la science, de découvrir des mondes nouveaux, les histoires de soucoupes volantes font de moins en moins sourire.
Les hommes réalisent que la TERRE (sic) qui occupe la troisième place dans l'ordre interplanétaire, n'est qu'un grain de sel dans l'univers.
D'autres mondes seraient habités , et ce ne serait pas un privilège exclusif des hommes de la Terre, comme plusieurs le croyaient dans le passé. Aussi, on se demande aujourd'hui si M. A.-H. Mathews, ingénieur et résidant du lac Beauport, en banlieue de Québec, n'avait pas dit la vérité lorsqu'il prétendait pouvoir communiquer avec les habitants d'autres planètes.
À la base de toute cette histoire, il y aurait eu ce fameux Tesla, un grand savant avec lequel Mathews entretenait d'étroites relations. Bien plus, Tesla c'était son ami.
"Tesla vient de m'écrire, disait Mathews. Il m'annonce qu'il vient de découvrir une arme merveilleuse pouvant servir aux petites comme aux grandes nations pour se protéger réciproquement entre elles."
Et Mathews affirme qu'il acheta cent acres de terre au lac Beauport, sur les conseils de Tesla, afin de travailler une idée commune et obtenir des résultats concrets.
LE RADAR
"Oui, le radar est l'une de ses nombreuses idées géniales de Tesla. il en trouva les grandes lignes vers 1890. Les radars d'aujourd'hui sont des copies améliorées de l'invention de Tesla."
Mathews raconte qu'il avait travaillé longtemps en collaboration avec Tesla, ainsi qu'avec le major Henry Sanford, qui possédait un camp magnifique dans les forêt du Lac St-Jean.
"Nous travaillâmes de concert à la fameuse barrière défensive de Tesla. Nous avions figuré environ $ 700,000,000.00 pour mettre à point cette machine.
Déjà, le gouvernement canadien s'intéressait à notre projet, lorsque mourut Sanford. En 1935, j'avais cependant terminé ce que j'appelais "Intruder Alarm".
Cette machine me permettait de détecter les moindres bruits à des distances considérables. Et c'est ainsi qu'elle entra en action dans la nuit de décembre 1949."
LES ÉTRANGERS
Cette histoire peut nous paraître incroyable même, mais elle est authentique. Plusieurs personnes dont la bonne foi ne peut être mise en cause, l'ont collaborée.
"Je fus réveillé, déclare Mathews et je descendis l'escalier, croyant que quelqu'un cherchait à s'introduire dans mon laboratoire. et je vis par la fenêtre ce qui me semblait être, au premier coup d'oeil, un immense nuage de 700 pieds de diamètre et atteignant à peu près, une hauteur de 30 pieds. je sortis sur la galerie.
Pendant que je regardais, effrayé, quelque chose de lumineux me frappa en plein visage et je sombrai dans l'inconscience. Je repris conscience, et je racontai à ma famille ce qui venait de se passer.
Ils ne me crurent pas et nous sortîmes pour examiner l'endroit où l'engin mystérieux s'était posé. Le ruban de mon "Intruder Alarm" avait enregistré la marche de l'appareil : 35 milles d'altitude en une période de neuf (9) minutes et sept (7) secondes. Et les traces sur la neige ne laissaient aucun doute. Je n'avais pas rêvé"
DES VOIX
"Je croyais bien que je n'entendrais plus jamais parler de cet engin, écris Mathews, mais le 26 décembre 1950, j'entendis une voix qui m'appelait.
La voix répéta mon nom durant près de 30 minutes. Et soudain, on me rappela un certain atterrissage en 1949, et la voix enchaîna disant : "durant plusieurs centaines d'années, nous avons essayé de communiquer avec vous. Si nous vous adressons à vous, c'est que Tesla vous faisait confiance. ce qui vous a permis de construire la seule machine au monde qui nous permette ce dialogue. Nous avons voulu savoir s'il vous serait possible de continuer le projet que vous a légué Tesla en 1935."
UN CADEAU
"Il y a cent ans, poursuivit la voix, nous avons envoyé un appareil sur Terre. Durant le voyage qui nous amenait de Vénus, comme vous l'appelez, un enfant est né. L'année : 1856. Nous avons atterri à midi, entre le 9 et le 10 juillet, non loin d'un petit village, en Hongrie. Nous appelâmes l'enfant Nikolas (il devait porter plus tard le nom de Tesla) et nous le laissâmes en cadeau à la Terre, espérant qu'il vous sortirait de la noirceur où vous êtes et vous ferait oublier votre férocité et votre haine, ce que nous ignorons sur Vénus."
LE MESSAGE
"Vous dépensez votre énergie à organiser des guerres pour vous entre-tuer. Nous avons plusieurs milliers d'années en avance sur vous, mais nous n'avons pas de place pour la cupidité."
Et la voix poursuivait:
"Le vaisseau dans lequel nous vous visitions se déplace à la vitesse de la lumière.
Physiquement, nous ne sommes pas tellement différents de ce que vous êtes; sauf pour la couleur de la peau, l'habillement et le langage.
Nous sommes peinés de constater que vos savants se croient géniaux parce qu'ils ont utilisé l'atome. Nous avons le pouvoir de détruire tous les hommes de la Terre sans aucun bruit. Ce pouvoir que vous appelez hypnotisme. Vous n'avez rien pour vous prévenir de cette arme que nous pouvons utiliser à 200 milles.
Un seul de nos larges navires pourrait détruire toute la Terre. Mais vous allez allez vous détruire vous-mêmes.
Nous savons que vous pourriez contrôler la gravité, mais vous n'êtes pas préparés pour cela.
Vous avez été mis sur terre pour vivre, apprendre et attendre. Et quand vous n'aurez pas accompli ces trois choses, vous ne pourrez sortir de l'orbite de la terre.
Le grand vaisseau dans lequel nous voyageons transporte de petits appareils de 30 à 100 pieds de diamètre. ils servent d'éclaireur. Le grand vaisseau a 600 pieds de diamètre.
Nous transportons nos laboratoires, des provisions, des ateliers de réparation. Nous n'avons pas de fenêtres, mais des écrans qui pourraient ressembler à vos écrans de télévision, autre invention de Tesla sur la Terre. Ainsi équipés, nous pouvons voyager des milliers et des milliers de milles. À l'occasion, nous utilisons les météorites.
"
Et le message se continue...
Plusieurs lecteurs diront qu'il s'agit là d'un article de haute fantaisie, mais le R.P. Paul Bernier, de Québec, est d'un tout autre avis, puisqu'il est le confident de M. A.-H. Mathews.
De toute façon, le "mystère" de Beauport a toujours été soigneusement caché. On craignait peut-être d'effrayer les gens.
En 1965, avec tous les lancements dans l'espace, cette histoire s'accroche mieux à la réalité. Mais il est asssez étonnant d'apprendre que Tesla, un grand savant, était un enfant de Vénus, laissé sur Terre, pour aider les pauvres hommes à sortir de l'obscurité.
(N.D.L.D. : En quelle langue a-t-on pu communiquer ces messages à M. Mathews ? La question nous intrigue énormément. Si celui qui prétend les avoir reçus, M. Mathews, ou son confident, le R.P. Paul Bernier, voulaient nous éclairer nous transmetterions volontier leurs avancés à nos lecteurs.)
RELATIONS "SUPRA-EXTÉRIEURES"
Afin d'éviter toute surprise, en cas de confirmation de l'hypothèse voulant que les autres planètes soient habitées, on a commencé aux Nations-Unis l'étude des relations àétablir entre les habitants de la terre et ceux des autres planètes.
Le "Comité juridique sur l'Espace extra-athmosphérique" qui se réunissait l'an dernier, a donc épluché un rapport intitulé :"Les relations avec la vie extra-terrestres".
DIGESTE ÉCLAIR JUIN 1965
CET ARTICLE NE RESTA PAS SANS SUITE. LE DIGEST ECLAIR PUBLIA EN NOVEMBRE DE LA MÊME ANNÉE (1965) UN ARTICLE INTITULÉ :
D'AUTRES PLANÈTES SONT HABITÉES ET LES SOUCOUPES VOLANTES EXISTENT !
"...L'existence d'être extra-terrestres semble de plus en plus certaine. Il ne se passe guère de semaine sans qu'on signale la présence d'un objet en forme de disque ou de soucoupe dans un coin quelconque du globe. Il en a été question de tout temps, dans les écrits des auteurs les plus sérieux mais depuis la deuxième moitié du XIXº siècle. les témoignages à cet effet montent en flèche.
D'ailleurs, pourquoi cela ne serait-il pas vrai ? Pourquoi la terre serait-elle la seule planète habitée ? Et si l'univers abrite ainsi plusieurs civilisations d'êtres humains, pourquoi ceux de la Terre seraient-ils nécessairement les plus avancés?
IMAGE À VENIR
L'image que nous apercevez ci-dessous est la reproduction d'une carte postale mise en marché par AMALGAMED FLYING SAUCER CLUBS OF AMERICA INC. de Los Angeles, Californie, E.U. Nous la tenons du R.P. Paul Bernier, o.p. de Québec, dont nous parlions dans le DIGEST ECLAIR du mois de juin 1965, dans un article intitulé "Le mystère du Lac Beauport". Au revers de cette carte, nous lisons cette phrase (en anglais) : "photograhie authentique d'une soucoupe volante, prise près d'Albuquerque, Nouveau-Mexique, le 16 juin 1963"
Dans l'article précité, nous relations l'aventure d'un ingénieur du Lac Beauport, M. Mathews qui aurait communiqué avec des êtres extra-terrestres venus de la planète Vénus. Incidemment, nous écrivions que le R.P. Bernier était le confident de M. Mathews.
Ces "gens" donc auraient transmis à l'ingénieur québecois un message et ils se seraient même posés avec leur navire spatial sur le Lac Beauport (sic), à quelques centaines de pieds de sademeure.
À cause de la nature étrange des prétentions de M. Mathiews, nous nous sommes permis dans une note de la rédaction, de manifester un certain scepticisme. Il n'en fallait pas plus pour nous attirer un long manifeste de la port du R.P. Bernier, manifeste dans lequel il expose sa philosophie des hommes de l'espace.
Nous preproduisons sa lettre intégralement ci-après :
Le numéro de juin 1965 du Digest Eclair publiait un article intitulé : "Le mystère du LAc Beauport ". Cet article est bien fait pour éveiller la curiosité de ceux qui sont disposés à croire que nous, les habitants de la Terre, ne sommes pas les seuls êtres intelilgents de l'univers. Nous avons eu la visite de nombreux vaisseaux interplanétaires et plusierus photographies ont été prises, entre autres celles d'Adamski et Villa. Mais nous ne sommes pas tous disposés à accepter l'existence des hommes de l'espace. Il y a des personnes qui ont vu cesmachines étranges et qui n'arrivent pas à croire qu'elles soient extra-terrestres. D'Autrres ont vu les photographies et ne sont pas encore convainques. Il faut une certaine humilité de notre part pour accepter que d'autres êtres puissent être supérieurs à nous.
EN AMÉRIQUE DU NORD : L'ANGLAIS
Il y a aussi des personnes qui sont convaincues de l'existence des êtres extra-terrestres et qui ne veulent pas admettre qu'ils aient pu communiquer avec nous. Cependant, il est bien certain que plusieurs personnes de la terre ont pu communiquer avec les hommes de l'espace. Tel monsieur Arthur Mathews du Lac Beauport. Vous me demandez dans quelle langue ont eu lieu ces communications ! Les hommes de l'espace demeurent sur différentes planètes ayant chacune une langue particulière et ils ont une langue universelle qui leur permet de communiquer avec les gens de la Terre, ils apprennent nos langues. En amérique du Nord, ils parlent anglais et le discours tenu à monsieur Matthews est en anglais.
Les hommes de l'espace ont à leur disposition des instruments qui leur permetent de lire notre pensée quelle que soit la langue utilisée. ils ont aussi des instruments qui enregistrent nos paroles et, en compbinant les deux instruments, ils peuvent facilement apprendre nos langues. Entre eux, ils communiquent par télépathie, ce qui cause des communications quand ils veulent causer avec nous qui ne sommes pas télépathes. Ils y réussirent cependant, surtout par le truchement de la radio, et par d'autres méthodes qu'il serait trop long a décrire ici.
"...Le R.P. Paul Bernier, de Québec, confident de M. Mathews..."


"...Arthur Matthews nous fait voir le "teslascope" appareil construit d'après les plans de Nikola Tesla et destiné à capter les émissions en provenance des vaisseaux extra-terrestres. Arthur Matthews sait que bien peu de gens croient à son histoire, mais il s'en moque et ne cherche plus à convaincre personne..."

(DIGESTE ÉCLAIR NOV. 1965)



"...Ci-dessus, la signature du R.P. Bernier, que nous avons photographiée pour démontrer l'authenticité de l'article que vous venez de lire..."

(DIGESTE ÉCLAIR NOV. 1965)

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vendredi 20 juin 2008

NIKOLA TESLA / ARTHUR MATHEWS (2)

DANS MA RECHERCHE SUR CE SUJET TELLEMENT FASCINANT QU'EST NIKOLA TESLA ET ÉTANT TOUJOURS À LA RECHERCHE DE PREUVES SOLIDES DE SA VENUE AU QUÉBEC, J'AVAIS ÉCRIT À LA TESLA COIL BUILDERS ASSOCIATION SITUÉE AU 3 AMY LANE, QUEENSBURY, NEW-YORK, 12804.
J'AVOUE QUE LA RÉPONSE M'AVAIT SIDÉRÉ. ELLE M'A LAISSÉ SONGEUR TRÈS LONGTEMPS ET J'EN ÉTAIS VENU À ME DIRE DURANT QU'IL POURRAIT Y AVOIR EU UNE CONFUSION TRÈS LÉGITIME ENTRE ARTHUR MATTHEWS ET GRINDELL MATTHEWS...ET POUR CAUSE.

RÉPONSE DE LA TESLA COIL BUILDERS ASSOCIATION
(25 JANVIER 2000)

VOICI LA TRADUCTION DE LEUR RÉPONSE :
M. Jean Morissette,
Voici la réponse à votre lettre du 17 janvier se rapportant à votre futur article à propos de Nikola Tesla. La suite répondra à une ou deux de vos questions.
Il est possible que Nikola Tesla ait rencontré Grindell Matthews, un inventeur Anglais (moins connu) lors de conférences en Angleterre au début des années 1890.
Arthur Matthews s'il vivait à ce moment-là aurait été très jeune. Plus tard dans sa vie, Arthur a fait des déclarations en ce qui concerne Tesla qui n'ont jamais été étayées.
J'ai personnellement déjà parler à Arthur une fois afin de passer en revue ses œuvres publiées sur Tesla mais je l'ai trouvé évasif et non coopératif. Pour autant que je sache, Arthur n'a jamais rencontré Tesla au Canada ni à aucun lieu (excepté quand il était un jeune garçon).
En 1927, Francis A. Fitzgerald parla à la Canadian Power Commission au nom de Tesla afin de savoir si la Commission pourrait fournir un support financier au système de Tesla d'électricité sans fils (Tesla's system of wireless power). Rien n'est venu de ce coté. Il n'existe aucun dossier que je connaisse qui soutient l'affirmation que Tesla ait travaillé pour le gouvernement Canadien.
J'ai peut-être déjà eu de l'information sur le Teslascope mais je ne peux me souvenir de rien concernant cet appareil. Il pourrait n'être que le fruit de l'imagination de certaines personnes. Et quand il s'agit de Tesla, des gens sont de nature à créditer Tesla avec des inventions qui n'ont jamais existées.
Dans une des premières publications de la revue ELECTRICAL EXPERIMENTER on y avait présenté la liste des inventions de Tesla mais je suis incapable de la localiser dans ma collection. Si je le trouvais, et qu'on y mentionne le Teslascope, je vous enverrai copie de la page.
LE TESLASCOPE N'EST PAS MENTIONNÉ DANS LA MAJORITÉ DES BIOGRAPHIES DE TESLA.
J'espère que cette lettre vous aidera,
HARRY GOLDMAN
N.B. : Je n'ai jamais reçu la photocopie de M. Goldman concernant le Teslascope.

H. GRINDELL MATTHEWS

EFFECTUONS UN SURVOL DE LA CARRIÈRE DE GRINDELL MATTHEWS.

Henry ou Harry (les avis divergent) Grindell Matthews est né le 17 Mars 1880, à Winterbourne dans le South Gloucestershire (Angleterre).

M. Matthews fit ses études à l'école de Mme Webb, Alveston, et plus tard au Bristol Aventuriers's College. Il était en apprentissage dès l'âge de 16 ans à un cabinet d'ingénieurs en électronique et en 18 mois a appris tout ce qu'ils pouvaient lui enseigner.

En 1899 il se porte volontaire pour la Guerre des Boers, il joint la force constabulaire Baden-Powel Sud-Africaine et où il est blessé deux fois. C'est à ce moment-là qu'il a développé un intérêt pour les possibilités de communication vocale sans fil, connu sous le nom de téléphonie sans fil.

Après la guerre, il travaille pour un ingénieur-conseil à Bexhill-Sur-Mer, où il trouve le temps de développer certaines de ses idées à propos de la téléphonie sans fil.

En 1911, il a construit une radio émettrice et réceptrice. Le 12 Septembre 1911, lors du vol de Ely Race Course à Cardiff, CB Hucks, dans un monoplan mercure Blackburn, le pilote a reçu des signaux transmis à partir du sol par Harry Grindell Matthews, alors qu'il était en vol à 85 milles à l'heure et à 700 pieds d'altitude.


M. Matthews a également envoyé le premier message de presse de Newport à Cardiff.

En 1912, Matthews fit une démonstration de son sans fil devant le roi George V à Buckingham Palace, où il a établi la communication entre deux voitures en mouvement.

Pendant la première Grande Guerre 1914-1918, il élaborere un moyen de contrôler les navires en utilisant un faisceau lumineux de recherche et sur un dispositif destiné à détecter les sous-marins à plus de 30 kilomètres.

En 1921, il a enregistre des pistes sonores en utilisant la lumière, et il fait parler un film de Sir Ernest Shackleton le 26 Septembre 1921, avant le départ définitif de celui-ci pour l'Antarctique.

En 1924, les titres des journaux le surnomment : Grindell "Rayon de la mort" Matthews.

M. Matthews affirmait que grâce à des charges électriques transformés en faisceaux lumineux il pouvait arrêter un avion à moteur, faire exploser de la poudre à canon ou tuer une souris. Au cours des expériences, il n'était pas inhabituel pour technicien d'être renversé ou brûlé en passant près de la poutre. Il a affirmé avoir lui-même perdu l'usage d'un oeil au cours de ces expériences.

Le rayon de la mort de Matthews à l'essai

En 1926/1927, alors qu'il est en Amérique et en utilisant l'éclairage de studios de cinéma, il développa son "Sky projecteur". Grâce a cet appareil, il pouvait projeter des images sur des nuages.

Au mois de Décembre 1930, la population de Hampstead à Londres, a été surpris de voir l'image d'un ange volant dans le ciel, suivi par les mots, «Un joyeux Noël», et une image d'une horloge indiquant le temps réel. Matthews était de retour en Angleterre afin de d'effectuer une démonstration de son "Sky projector" .

Il inventa également un appareil nommé "Luminaphone" un orgue qui pouvait être joué par des rayons lumineux. "Mon appareil peut reproduire n'importe quelle œuvre musicale avec l'habileté d'un orchestre et la qualité de son des grandes orgues», avouait-il.


LE "SKY PROJECTOR"

Pour la petite histoire, il a été avancé que ses inventions ont pu avoir un lien avec les super-héros Flash Gordon et Batman. Son "Sky projector" est certainement ressemblant avec le «Bat Signal» utilisé par le maire de Gotham City afin de convoquer le Duo Dynamique, Batman & Robin. Et Flash Gordon aimait bien utiliser son pistolet à rayon.

En 1934, M. Matthews élabora l'idée d'utiliser de d'hydrogène liquide à un avion-fusée et qu'il pourrait filer à une vitesse de 6 kilomètres par seconde. Trente-cinq ans plus tard, les hommes d'Apollo 11 se rendirent sur la Lune dans une fusée alimentée à l'hydrogène liquide!

H. Grindell Matthews est décédé d'une crise cardiaque le 11 Septembre 1941 à Swansea. Il avait vécu depuis 1934 dans un bungalow au sommet d'une montagne galloise, entouré de clôtures électriques et d'alarme anti-vol de son invention.

Parmi les autres inventions attribué à Harry signalons un pilote automatique pour les avions et le système automatique des lampadaires s'allumant au crépuscule.

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jeudi 19 juin 2008

NIKOLA TESLA / ARTHUR MATHEWS

TOUS BONS JOURNALISTES OU ENQUÊTEURS DOIVENT NÉCESSAIREMENT VÉRIFIER AU MOYEN DE SOURCES FIABLES TOUTES AFFIRMATIONS.

AINSI PLUSIEURS AUTEURS ONT AFFIRMER QUE NIKOLA TESLA AURAIT TRAVAILLER DE CONCERT AVEC ARTHUR MATHEWS DANS LA PROVINCE DE QUÉBEC.

CERTAINS ONT SITUÉ CES TRAVAUX AU LAC BEAUPORT ET À D'AUTRES ENDROITS DANS LA PROVINCE DE QUÉBEC.

AINSI EN 1999, GRÂCE À LA LOI D'ACCÈS À L'INFORMATION, J'AI TENTÉ DE TROUVER UNE PREUVE TANGIBLE QUE NIKOLA TESLA ÉTAIT BEL ET BIEN VENU AU QUÉBEC.
JE VOUS LIVRE ICI LES RÉPONSES AUX LETTRES QUE J'AVAIS REÇUES À L'ÉPOQUE.

CERTAINS Y VERRONT UNE CONSPIRATION, D'AUTRES DE L'INCOMPÉTENCE VOLONTAIRE.

GARDONS SURTOUT EN MÉMOIRE "...QUE L'ABSENCE DE PREUVE N'EST PAS LA PREUVE DE L'ABSENCE..."



RÉPONSE DE LA BIBLIOTHÈQUE NATIONALE DU CANADA
(23 AOÛT1999)
EXTRAIT DE CETTE LETTRE :
"...nous avons déterminé que votre demande est plutôt une question de référence qu'une demande d'accès à l'information..."


RÉPONSE DE L'OFFICE NATIONAL DE L'ÉNERGIE
(24 AOÛT 1999)
EXTRAIT DE CETTE LETTRE :
"...nous ne pouvons donner suite à votre demande, car nous ne possédons aucun renseignement relatif à votre demande..."

RÉPONSE DE LA DÉFENSE NATIONALE
(25 AOÛT 1999)
EXTRAIT DE CETTE LETTRE :
"...il nous faudra les informations suivantes :
. Genre d'information requise
. Lien avec le Ministère de la défense nationale..."

RÉPONSE DE L'OFFICE DE L'ÉNERGIE
(14 SEPTEMBRE 1999)
EXTRAIT DE CETTE LETTRE :
"...nous ne possédons aucun renseignement relatif à votre demande..."

RÉPONSE DES ARCHIVES NATIONALES DU CANADA
(16 SEPTEMBRE 1999)
EXTRAIT DE CETTE LETTRE :
"...la seule référence à Tesla qui existe aux Archives Nationales du Canada est un vidéo dans lequel un académique (sic) discute des recherches de Nikolas Tesla..."

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mercredi 4 juin 2008

PENSÉE DU JOUR ;( CHEVEUX vs L'HUMAIN

LA NATURE A INVENTÉ LA CHEVELURE...




DES CULTURES L'ONT CACHÉE...


MÊME LES CULTURES QUI SONT PLUS PROCHES DE NOUS QUE NOUS LE CROYONS...


VOILE CATHOLIQUE...1

VOILE ISLAMIQUE......1

.....................MATCH NUL

N'EN DÉPLAISE À CERTAINS AGITATEURS POLITIQUES, RELIGIEUX, JOURNALISTIQUES OU AUTRES...

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dimanche 25 mai 2008

LE PIÈGE AMÉRICAIN / DE DALLAS À MONTÉAL

FABIENNE LAROUCHE, UNE FEMME QUE J'ADMIRE PAR-DESSUS TOUT POUR SA DÉTERMINATION ET SA CRÉATIVITÉ NOUS PRÉSENTERA SON PREMIER FILM INTITULÉ : "LE PIÈGE AMÉRICAIN".

FABIENNE LAROUCHE

METTANT EN VEDETTE RÉMY GIRARD, CE FILM NOUS RACONTERA LA VIE DE LUCIEN RIVARD, UN HOMME LIÉ AU TRAFIC DE LA DROGUE ET D'ARMES EN AMÉRIQUE DU NORD.



RÉMY GIRARD

Ce film me ramène avec bonheur à cette mémorable journée qu'a été le 18 septembre 1998. En effet, j'ai eu la joie de passer toute la journée avec nul autre que Pierre Salinger, ancien attachée de presse de John F. Kennedy.

Ceci fera l'objet d'une prochaine chronique.

Mais cette journée fut fascinante également, car notre équipe du magasine ÉNIGMA, dont Christian Robert Page était le rédacteur en chef, invitait également M. Maurice Philipps en sa qualité d'écrivain.

M. Philipps fut invité pour son livre intitulé "DE DALLAS À MONTRÉAL", puisque le thème le thème de la conférence était "Conspiration, le pouvoir secret".

Le sous-titre de son livre est également évocateur "LA FILIÈRE MONTRÉALAISE DANS L'ASSASSINAT DE JFK".

Ce livre fut publié aux Éditions de l'Homme en 1996.

Dans son ouvrage, M. Philipps nous parle de Lucien Rivard et de son éventuel complicité dans l'attentat de Dallas.

À l'intérieur de son oeuvre, M. Philipps nous fait part de trois ans d'enquête exhaustive sur le meurtre de JFK.

Certains faits de son livre méritent d'être soulignés.

Ainsi, selon M. Philipps, l'assassinat de JFK fut l'oeuvre, non pas de la MAGIC BULLET (théorie de la Commission Warren faisant d'une balle unique la responsable de tous les dégâts lors de l'attentat), mais bien d'un tir concerté de 14 balles. D'ailleurs à ce sujet, le titre de son premier chapitre est très clair: L'assassinat de Kennedy : une opération militaire.

Les indications telles que AZ-188, nous indique le numéro de cadre du fameux film de Abraham Zapruder sur l'assassinat de John F. Kennedy que vous pouvez aller visionner image par image à l'adresse suivante :

http://images.google.ca/imgres?imgurl=http://www.fanopabo.com/blog/images/zap295.jpg&imgrefurl=http://www.fanopabo.com/blog/index.php%3FOh-mon-dieu-ils-ont-tue-kennedy&h=494&w=500&sz=145&hl=fr&start=12&um=1&tbnid=DCuE3wO9gfULvM:&tbnh=128&tbnw=130&prev=/images%3Fq%3D%2522mary%2Bmoorman%2522%26um%3D1%26hl%3Dfr%26sa%3DN

Voici, selon M. Philipps, l'ordre tiré de ces 14 balles :

01- Premier coup de feu atteint M. Kennedy à la gorge (AZ-188). Tiré probablement de l'intérieur d'une boîte de carton, selon le son entendu d'un pétard ou de celui d'un retour de flamme d'une automobile, placée sur une bouche d'égout située à gauche de la route près du tunnel de chemin de fer où des témoins ont affirmés avoir vu sortir de la fumée et trouvé des éclats de papiers.

02- Un projectile touche la route. Selon trois témoins à savoir le shérif de Dallas M. J. E. Decker, Mme Virgie Rachley et l'agent de police Starvis Ellis, une balle rebondit et fit des étincelles à l'arrière de la voiture. Ellis ne fut jamais interrogé par la Commission Warren...

03- Premier coup qui atteint le gouverneur Connally (AZ-225). Connally fut formel devant la Commisson Warren il entendit le premier coup de feu, vit la réaction du président et ne fut touché qu'après...donc près de trois secondes plus tard selon le film de Zapruder. Il donc impossible qu'il fut touché par la même balle.

04- La balle qui a atteint Kennedy dans le dos (AZ-228). Toujours selon le film de Zapruder, nous voyons le président poussé par l'avant par l'impact d'une autre balle. D'ailleurs d'autopsie révélera un impact de balle dans le dos d'une profondeur d'au moins 5 centimètres.

05- Une balle perdue blesse James T. Tague. M. Targue, spectateur innocent de la tragédie, fut blessé à la joue par un éclat de ciment. Après avoir avertis des policiers, ceux-ci trouvèrent l'impact d'une balle sur un trottoir au sud de Main Street. Des experts calculèrent que le point de départ de cette balle n'était pas le fameux dépôt de livre où se serait tenu Lee Harvey Oswald mais bien d'un autre édifice, le Dal-Tex Building.

06 et 07- Deux balles retrouvées dans la terre. Deux témoins, Wayne et Edna Hartman virent deux dépressions dans la terre au centre de Dealy Plaza. Des policiers dirent à ces témoins qu'elles furent causées par des impacts de balles.

08 et 09- Balles provenant de Dallas County Records Building. Deux sillons laissés par des balles, un sur le trottoir nord et l'autre sur le trottoir sud de Elm Street indiquent le Dallas County Records Building comme point de départ.

10- Le coup fatal porté à la tête venant d'un pistolet (AZ-313). Deux balles de calibre .45 furent trouvées et photographiées. Ces deux balles ont ensuite disparues mystérieusement de la circulation. Selon l'agent des services secrets Clint Hill (celui que l'on voit sauter à l'arrière de la voiture présidentielle) le son de cette balle était totalement différent des autres entendus. De plus, l'agent de police J. W. Foster trouva une balle de calibre .45. Une balle visiblement déformée par un impact. Un agent, se disant du FBI, fut photographié alors qu'il ramassait cette balle. Le Bureau nia toute intrusion et l'agent ne fut jamais formellement identifié.

11- Un deuxième coup de pistolet. Le fils d'un témoin de l'assassinat trouva ce jour-là une douille d'un calibre .38 par terre. Le père la remit à un journaliste, Bill O'reilly, vers le milieu des années 1970 et celui-ci alla la porter à un enquêteur du comité de la Chambre sur les assassinats, Gaeton Fonzi. M. Fonzi affirma avoir reçu cette balle et l'avoir ensuite donnée à un enquêteur principal, Cliff Fenton. En 1982, Fenton dénia cette information.

12- Une balle provoque des étincelles sur la route. Un autre témoin, le cheminot Royce G. Skelton, affirma avoir entendu deux coups de feu, puis avoir vu une balle percuter le sol, pour aller se perdre sur le terre-plein au milieu de Elm Street.

13- Coup provenant de la butte gazonnée après la balle du cadre 313 (AZ-323). Plusieurs spectateurs entendirent clairement un autre coup de feu après que la tempe droite du président eut explosée. C'est cette balle qui projette sur le coffre de l'automobile le morceau d'os que Jacqueline Kennedy tente de rattraper.

14- Une balle touchant Connally au poignet et à la cuisse (AZ-323 À 337). Nous voyons le film de Zapruder que Connally fait un geste vif vers l'avant, puisqu'il est touché par une seconde balle.

Autre fait intéressant dans son livre, le titre du dix-neuvième chapitre du livre de M. Philipps n'a pas besoin d'une longue élaboration : Les "assasins" Lee Harvey Oswald et James Earl Ray à Montréal".

Maurice Philipps nous surprend en nous apprenant ce qui suit :

En 1971, le bureau du Montréal Star à Washington recevait anonymement une copie d'un mémo TOP SECRET de la CIA qui invitait ses agents à interrompre leurs contacts avec le... FLQ (Front de Libération du Québec) en raison des dangers que présentaient la Loi des mesures de guerre.

Vingt and plus tard un agent de la CIA, M. Jules Kimble, qui aida à Montréal l'assasin présumé du Pasteur Martin Luther King (James Earl Gray) révéla avoir fait parti d'une organisation québecois soutenue par la CIA : le FLQ (Front de Libération du Québec).

En conclusion, je vous recommande fortement la lecture de ce livre incontournable afin de comprendre un peu mieux les faits et aboutissants d'une page d'histoire marquante dans notre histoire terrestre et qui se lit comme un roman tellement il est détaillé et bien rendu.

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vendredi 16 mai 2008

VIE SUR MARS ?? / PLANÈTE DE TOUS LES MYSTÈRES

J'ADORE LA PLANÈTE MARS.


À ELLE SEULE, ELLE REPRÉSENTE TOUS LES ARCHÉTYPES DU MYSTÈRE.


ELLE A TOUJOURS EXERCÉ UN ATTRAIT PRESQUE MYSTIQUE SUR LES TERRIENS.

AUJOURD'HUI ENCORE ELLE NOUS ÉTONNE PLUS QUE JAMAIS....

Sa couleur rouge, dans le firmament a toujours attiré le regard des humains.


Les hommes ont identifié cette planète très tôt au Dieu de la Guerre. à cause de sa couleur rouge semble-t-il.


La Lune étant notre voisine immédiate, l'homme voulut s'y rendre en premier.


Ensuite, Mars fut la prochaine cible idéale pour l'exploration spatiale.


Mais cette conquête ne ce fit pas sans "incidents" ?

Il y eut tellement d'avaries que plusieurs n'hésitèrent pas à croire que d'éventuels habitants de Mars faisaient tout en leur pouvoir afin que les sondes spatiales ne s'y rendent pas...

Voici une liste des principales "pannes"


MARS 1

Les Russes lancent une sonde, MARS 1, le 1º novembre 1962. D'un poids de 893 Kg, elle échappe à tous contrôles à 193 000 Km de Mars.
Quatre jours après, une autre sonde russe de la série MARS est lancée mais n'arrive pas à s'échapper de l'orbitre terrestre.


MARINER 3
Du côté Américain, le 5 NOVEMBRE 1964, la sonde Mariner 3 est lancée sans plus de succès. Elle n'atteindra pas non plus l'orbitre terrestre.


Autre essai, le 28 novembre 1964, MARINER 4 réussit a photographier la surface de Mars. Mais durant quelques instants, la sonde échappera aux signaux terrestres.




ZOND 2

Retour des russes avec Zond 2 lancée quatre jours après Mariner 4. Mais à 1 500 Km de Mars, celle-ci arrête d'émettre.



LANCEMENT DE MARINER 6



Au mois de février 1969, les États-Unis lancent tour à tour Mariner 6 et 7.

Mariner 6 envoie à la terre 75 photographies.


MARINER 7

Mariner 7 tombe brutalement en panne durant sept heures. À "son retour", ses transmissions ont décrues et sa vitesse a augmenté.



MARINER 8


Le 8 mai 1971, les américains perdent complètement la sonde Mariner 8.

Même échec pour les Russes avec Cosmos 419, lancée deux jours après Mariner 8.

Lancée le 19 mai 1971 la sonde russe Mars 2 atterrit enfin sur Mars mais son "atterrisseur" ne fonctionne pas. Mais certaines données arrivent à la Terre jusqu'en 1972.

Lancée le 28 mai, la sonde jumelle de Mars 2. Mars 3, a les mêmes avaries à son atterrissage. Mais une quantité importante de données sera envoyées jusqu'à la fin de leur mission en 1972.


MARS 2 et 3


Et les années passèrent avec leurs lots d'échecs et de victoires...

Et nous en arrivons à une photographie prise par la sonde martienne Rover Spirit.

Voici la photographie originale :

Un "lecteur" attentif y a déceler cette "anomalie martienne":

On dirait une forme humanoïde (une femme, car sous le "bras", nous croyons apercevoir le début d'un sein) , assise, le bras droit soulevé, et la main droite semblant tenir un bien drôle de bâton.
Même la chaîne de télévision américaine CNN a montré cette photographie.
Afin de visualiser le reportage, voir :

Encore une énigme a ajouter à tous ces "mystères martiens"...

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